UPE2A
Un petit tour sur Mars à la rencontre de Persévérance
UPE2A
09/10/24
Nous sommes les élèves d’UPE2A du collège Gisèle Halimi de Mérignac ; grâce à l’association TARMAQ et à Cap Sciences nous sommes allés le mercredi 9 octobre 2024 au laboratoire d’astrophysique de Bordeaux qui a créé la SuperCam, "l’œil" de Persévérance, le robot qui explore Mars depuis 2020.
Nous sommes allés en bus jusqu’à Pessac, où se trouve le laboratoire, pour poser des questions à Philippe Caïs, ingénieur de recherche au CNRS au sein du laboratoires d’astrophysique de Bordeaux, à propos du robot Persévérance qui est actuellement sur Mars.
Comme nous venons d’autres pays : du Maroc, de Turquie, de Moldavie, de Géorgie, du Pakistan, de Syrie, du Bangladesh, d’Azerbaïdjan, de Guinée, de La Barbade, d’Ukraine,
d’Albanie et que nous avons commencé à apprendre le français pour la plupart cette année, Monsieur Caïs a donc parlé en français et en anglais. Nous avons pu poser des questions sur les activités du laboratoire, sur le robot et sur sa Supercam. En effet Philippe Caïs a participé à créer la Supercam qui prend des photos des vidéos, analyse des roches grâce à deux lasers et un outil infrarouge et capte le son de Mars (vent).
Nous lui avons d’abord posé des questions sur la vie des étoiles et sur les dangers qu’elles représentent pour les planètes qui gravitent autour d’elles. Nous avons parlé de la créations d’éléments complexes par les étoiles. Ensuite nous l’avons interrogé sur la mission : Tout d’abord « à quelle vitesse se déplace le robot ? Comment récupérez vous ce que trouve le robot ? » Monsieur Caïs nous a expliqué que le robot utilisait des ondes radio qui mettent 20 min à parvenir à la Terre (images, sons, analyses faites par le robot) mais que pour récupérer les échantillons il faudrait monter une nouvelle mission.
Nous avons aussi voulu savoir « Est-ce que c’était difficile de travailler avec plusieurs pays ? » Nous pensions que le plus gros problème était la langue mais Philippe Caïs nous a dit que les deux choses les plus compliquées étaient la culture de travail et le décalage horaire pour communiquer et travailler ensemble. Pour la langue « tout le monde parle anglais ». Enfin nous avons demandé : « Comment contrôlez vous le robot ? » et « Quelle était la partie la plus difficile de la mission ? » Là encore nous avons eu des réponses : le robot est contrôlé avec des ondes radios et il est en partie autonome. La partie la plus difficile de la
mission est les 7 dernières minutes du trajet du robot, le moment où il prépare l’atterrissage : pour décélérer il utilise même des parachutes. Pendant la seconde partie de la matinée nous avons utilisé des casques de réalité virtuelle pour aller marcher sur Mars à côté du robot et de son drone. Anila et Petro ont trouvé que c’était très bien et que cela ne faisait pas peur du tout.
C’était un peu bizarre et fun mais un peu comme si c’était irréel. Cristina a trouvé que c’était très réaliste en particulier le drone. Aminata avait vraiment l’impression d’être sur la planète Mars parce qu’elle voyait les empreintes de pas, les montagnes et le sable. Même la professeure, Mme Castaingts, s’est essayée à poser le pied sur la planète rouge.
Toute la classe remercie le laboratoire, l’association TARMAQ , Cap Sciences et plus particulièrement David Huguet et Philippe Caïs qui nous ont permis de vivre cette superbe expérience.
Un cahier, un crayon pour le Cameroun
UPE2A
06/10/2022
Quel est le problème ?
Le Cameroun manque de fonds pour acheter des fournitures scolaires qui aideraient les enfants à mieux apprendre. Que pouvons nous faire pour aider le Cameroun ?
Nous pouvons leur donner :
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Des petits cahiers de moins de 96 pages.
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Des crayons de couleur et crayons de papier
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Des gommes
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Des taille-crayon
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Des stylos
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Des équerres
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Des ardoises à craie
Il est fréquent que dans les zones rurales, les enfants aident leur famille dans les travaux agricoles. Parfois, ces jeunes sont contraints d’arrêter l’école pour se consacrer pleinement à ces activités.
La majorité des enfants inscrits à l’école primaire va dans le secteur public. Les frais de scolarité y sont gratuits, mais il faut payer 5,000 Francs CFA (7,6 euros) pour l’association des parents d’élèves.
Dans les écoles privées, il faut débourser entre 60,000 FCFA (92 euros) et 125,000 FCFA (274 euros). C’est un coût très élevé, alors que le salaire mensuel minimum est de 55 euros.
Les cours se divisent en deux parties, les enfants vont à l’école soit le matin, soit l’après-midi.
Au CDI ou à Vie Scolaire, on attend vos dons !
Elèves de UPE2A
Pour en savoir plus...
Relire le programme : pièce, distribution...
Bravissimo !
06/05/2022
Le festival Scènes d'accueil, organisé par ALIFS célèbre cette année son vingtième anniversaire. Cette édition s'est clôturée ce vendredi 6 mai, dans la salle Vauthier du Théâtre National de Bordeaux-Aquitaine (TNBA).
Après les remarquables représentations des élèves du collège Léonard Lenoir, du collège Edouard Vaillant et du lycée Magendie, les élèves de l'UPE2A du collège Gisèle Halimi ont joué « L'éléphant… Ô roi de tous les temps», du dramaturge syrien Saadallah Wannouss.
Le public, venu nombreux pour assister à la représentation, a ovationné les comédiens, emmenés par le metteur en scène Wahid Chakib, avec qui ils ont travaillé pendant plusieurs semaines. Quel succès !
Félicitations à tous les élèves qui ont brillé sous les feux de la rampe ! Bravo à tous, Madame Timonine peut être très fière du travail que vous avez accompli avec elle et avec Wahid Chakib!
Tous en scène le 6 mai !
25/04/2022
Après une intense préparation les mardis après-midi auprès de Wahid Chakib, comédien et metteur en scène, les élèves de l'UPE2A se préparent à monter sur les planches du TNBA lors du festival Scènes d'accueil, organisé par ALIFS.
Vendredi 6 mai, à 18h30, ils joueront « L'éléphant… Ô roi de tous les temps», du dramaturge syrien Saadallah Wannouss.
Les troupes du collège Léonard Lenoir, du collège Edouard Vaillant et du lycée Magendie partageront la scène ce soir-là.
Venez nombreux pour assister à cette représentation !
Slam à Beaudésert !
08/03/2022
Les élèves de l'UPE2A ont participé tous les mardis matins en le SLAM depuis 3 mois, dans lequel ils apprennent le français. Ils ont fait à Beaudésert une petite présentation de leurs textes écrits en classe.
Chacun a parlé de ses préférences et goûts dans leurs textes. Ils sont allés le 8 mars de 17h à 19h pour exposer ce qu’ils ont fait pendant la durée de ce projet.
Ils ont eu l’aide de professionnels de Street Def Records. Dans le centre social et culturel de Beaudésert, il y avait d’autres élèves qui ont fait des montages, un concert, des discours sur les femmes musiciennes dans le monde et un journal sonore. Et des mamans qui participent dans l’école des parents se sont présentées en français.
Yasmin Arroum & Marwa Najib, élèves de l'UPE2A
Mardi soir, nous sommes allés au centre social et culturel de Beaudésert, nous avons récité un texte de SLAM fait par nous pendant trois mois, le premier texte s'appelle "Au monde", c'est un texte que Yasmin et Walid ont écrit , le deuxième texte s'appelle "Dans l'UPE2A", c’est le texte qui a été écrit par Alvaro, Aeed, Fahed et Michel, le troisième texte s'appelle "Différences", ce texte a été écrit par Abdulaziz et Moshtaba, Rayan, le quatrième texte a été écrit par Moshtaba. Le cinquième texte s'appelle "De la fenêtre" a été écrit par Alex. Le sixième texte s'appelle "Diversité" : ce texte a été écrit par Rayan et Adam. Le septième texte s'appelle "Dans le collège" de Sofia et Marwa et le dernier texte s'appelle "bonjour" et c’est le texte de Sofia et Rashida.
Article de Alex Rygan et Sofia Arroum, élèves de l'UPE2A